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Articles généraux

Aux vélos, citoyens ! Le forfait "mobilités durables" arrive

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CFDT
Articles généraux
18 mai 2020
Affichages : 1097

Ca y est ! Le «forfait mobilités durables» est ouvert aux personnels rémunérés par l’Etat ou un de ses établissements publics  (par décret 2020-543 du 9 mai 2020).
Pour les agents de notre ministère, fini l’IKV (Indemnité Kilométrique Vélo), expérimentation qui devait se poursuivre jusqu’au 1er juillet 2020. Le forfait mobilités durables a été avancé au lundi 11 mai 2020 en raison de la reprise d’activité et du déconfinement.
Les agents publics de l’Etat peuvent donc bénéficier du remboursement de tout ou partie des frais engagés au titre de leurs déplacements entre leur résidence habituelle et leur lieu de travail avec leur cycle ou cycle à pédalage assisté personnel ou en tant que conducteur ou passager en covoiturage, sous forme d’un «forfait mobilités durables».

Un arrêté du 9 mai 2020 en précise le montant : 200 €.
Il précise le nombre minimal de jours d’utilisation du moyen de transport éligible : 100 jours

Il faudra une déclaration sur l’honneur remplie par l’agent auprès de l’employeur certifiant l’utilisation d’un moyen de transport durable au plus tard le 31 décembre de l’année en cours. Le « forfait mobilités durables » est versé l’année suivant celle du dépôt de la déclaration. L’utilisation du covoiturage fait l’objet d’un contrôle de la part de l’employeur qui demande à l’agent tout justificatif utile à cet effet, celle du vélo peut faire l’objet d’un tel contrôle.

Tout cela, c’est très bien, mais… Mais.
Mais Météo-France étant Etablissement Public Administratif, et non directement un service du ministère, ce nouveau dispositif doit donc d’abord être adossé à une délibération du Conseil d’Administration de l’Etablissement (le CA).
Dès le 12 mai, la p-dg de Météo-France a souhaité recueillir les avis des représentants du personnel au sujet d’une consultation électronique. En effet, comme suite à un  courrier intersyndical CGT-FO-CFDT, le sujet avait déjà été traité aux 2 derniers Conseils, un avis favorable avait été donné à la mise en place expérimentale de l’IKV dans l’attente du forfait mobilité durable. La majorité des organisations syndicales s’est montré favorable à une consultation électronique du CA ce 26 mai. Ca avance !

Gageons que 200 à 400 personnels de Météo-France seront intéressés par ce forfait pour le vélo, et que d’autres se mettront pleinement au covoiturage. Le gouvernement s’est voulu incitatif sur celui-ci en l'ajoutant comme ouvrant droit au forfait aux côtés des modes de déplacement cycle et « cycle assisté ».
Rendez-vous fin mai début juin pour les résultats du vote des administrateurs de Météo-France, et nous verrons ensuite l’engouement des personnels autour de ce dispositif.

Autres informations :
* Dans la perspective de la sortie du confinement, le Gouvernement a pris des mesures pour encourager la pratique du vélo avec la prise en charge de réparations de vélo jusqu’à de 50€. Pour en savoir plus : https://www.coupdepoucevelo.fr/
* Lire aussi un article CFDT du ministère sur ce sujet : ” Le MTES annonce un plan gouvernemental de 20 millions d’euros pour encourager la pratique du vélo pendant le déconfinement (01-05-20) ”

 

Enquête faite auprès des travailleurs, pour le 1ier mai

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CFDT
Articles généraux
30 avril 2020
Affichages : 544

A l’occasion du 1ier mai fêté sur les réseaux sociaux, la CFDT, s’étant mobilisée fortement aux côtés des travailleurs et de ses adhérents, ayant recueilli questions et témoignages (2 700 mails à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. traités, plus de 1,2 million de vues sur la FAQ dédiée au Coronavirus), a décidé de lancer une enquête auprès de salariés français pour recueillir leur perception de l’impact de la crise sanitaire, et leur vision de l'avenir.
Les résultats ont été publiés sur 57 planches ici en lien.

La CFDT a baptisé son action sur les réseaux sociaux : "1er mai #construisonsdemain ensemble"

La CFDT revendique :

• Une reprise du travail progressive et négociée, dès lors que les conditions de santé et de sécurité des travailleurs sont réunies.

• Une mobilisation générale pour l’emploi et l’économie, qui prenne en compte la nécessaire transition écologique (recentrer le pacte productif sur ses deux objectifs initiaux que sont la décarbonation de l’industrie et le plein emploi, booster le green deal européen).

• La reconnaissance des travailleurs qui exercent des métiers invisibles mais indispensables (par des augmentations de salaire, une autre organisation du travail) et des travailleurs qui ont affronté la crise en présentiel (par une prime sous forme de crédit d’impôt).

• La mise en place de dispositifs d’urgence pour répondre aux personnes les plus fragilisées par la crise (travailleurs précaires, jeunes arrivants sur le marché du travail, etc.).

• Le partage des efforts pour sortir de la crise : contribution des plus riches (impôt sur les successions, revenus du capital soumis au même barème que les revenus du travail), pratiques exemplaires des entreprises qui ont bénéficié des aides publiques, contribution des grandes entreprises qui ont fait des bénéfices, notamment les GAFA.

Objectif : construire un modèle de société qui allie justice sociale et urgence écologique, qui remet la question du travail et de ses modes d’organisation au coeur des débats, et qui assure la protection de tous et toutes.

 

Ci-dessous les résultats, dans les grandes lignes, de l’enquête réalisée auprès de 1 005 personnes représentatives des salariés français du 16 au 22 avril 2020, par Kantar pour la CFDT :

1. Une situation professionnelle très fortement impactée et de grandes disparités de situations.
Si une majorité de salariés ont vu leur situation professionnelle impactée (70 %), celle-ci l’est très différemment selon leur catégorie professionnelle ou la taille de leur entreprise :
• 96 % des ouvriers toujours actifs travaillent « en présentiel » contre 32 % des cadres ;
• 41 % des salariés des très petites entreprises ont déjà constaté une diminution de leur salaire, contre seulement 14 % des salariés des très grandes entreprises ;
• les conditions de télétravail sont plus difficiles pour les femmes et les agents publics.

 

2. Des craintes pour l’avenir sur l’emploi, les conditions de travail et les salaires.
• Les sentiments dominants : entre inquiétude (51 %), patience (46 %) et impuissance (37 %).
• Les travailleurs anticipent de très forts changements : 79 % pensent que la crise aura une incidence sur l’avenir de leur administration ou de leur entreprise ; 75 % anticipent une évolution des manières de travailler.
• Plus du quart des travailleurs (26 %) anticipent la perte de leur emploi ! Près d’un travailleur sur deux craint des suppressions de poste et une dégradation des conditions de travail et d’emploi. Près des deux tiers craignent une dégradation générale de leur situation financière !
• L’incertitude domine quant au sens que prendront les changements (52 % pensent qu’ils seront positifs et négatifs à la fois).

 

3. Le dialogue social, un atout pour obtenir la confiance des salariés.
Alors qu’un quart des salariés considère que leur employeur n’a pas pris les bonnes mesures face à cette crise, ce mécontentement est divisé par trois lorsque les représentants du personnel ont été consultés.
De la même manière, si un quart des salariés ne font pas confiance à leur employeur pour ce qui concerne l’adaptation des conditions de travail et la protection sanitaire des travailleurs, la consultation des représentants des salariés divise par deux cette inquiétude.
Assez logiquement, 68 % des salariés attendent des syndicats qu’ils jouent un rôle dans la réponse à apporter aux conséquences de la crise actuelle.

 

4. Les Français aspirent à des évolutions profondes de notre société.
• Deux attentes concernant la société post-épidémie : relocaliser en France des productions-clés (73 %) et revaloriser les emplois dont la crise a montré le caractère indispensable (72 %).
• La crise n’a pas gommé les préoccupations environnementales et climatiques (59 %), et le souhait d’une revalorisation des services publics (58 %).
• Les salariés estiment que les efforts doivent être partagés : 87 % trouvent acceptable de rétablir une contribution des plus riches ; 57 % pensent qu’il faut exiger des contreparties de la part des entreprises ayant bénéficié de dispositifs d’aide des pouvoirs publics.

 

Les résultats complets ont été publiés sur 57 planches ici en lien.

 

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